Vu les derniers Ă©pisodes affichĂ©s par certains reprĂ©sentants politiques, voilĂ un objectif qui sâannonce chaque jour plus compliquĂ©. Et pourtant, il nâest pas lâheure de se rĂ©signer! Les dĂ©fis sociaux, climatiques, sanitaires, Ă©conomiques sont Ă©normes, nous ne parviendrons Ă les relever quâen crĂ©ant lâadhĂ©sion des citoyennes et des citoyens, votre adhĂ©sion. Je suis convaincue que pour crĂ©er cette adhĂ©sion, il faut aller Ă votre rencontre, vers vous, arrĂȘtons dâattendre que vous veniez Ă nous.
Avec le mouvement « Il fera beau demain – Mouvement positif », nous avons une formidable opportunitĂ© de participer avec vous Ă la crĂ©ation dâun mouvement avec un projet Ă haute valeur ajoutĂ©e puisque vous en ĂȘtes au cĆur.
La crise du coronavirus a tout perturbĂ© alors quâon imaginait vous retrouver en rue, organiser des soirĂ©es dâĂ©changes conviviales et autres… il a fallu se rĂ©inventer, câest ainsi que nous nous sommes lancĂ©s dans un grand porte Ă porte virtuel avec Gianni Tabbone et Xavier Dalken.
Quel plaisir de vous lire, dâavoir partagĂ© des dĂ©bats en lignes avec vous… nous continuerons, ce nâest quâun dĂ©but. Câest lâoccasion de vous remercier une nouvelle fois pour votre soutien, vos encouragements, vos rĂ©ponses, votre participation. La politique, câest pour moi une passion mais sans vous, cela nâaurait pas de sens. Nul doute, demain se construit avec vous, câest ainsi quâil fera beau
L’article « Oranger » :
Qui a dit que le Covid avait tout mis sur pauseâŻ? Dans les bassins de Haute-Meuse et de FlĂ©ron, le confinement nâa pas refroidi MĂ©lanie, Xavier et Gianni. Ils sont partis Ă la rencontre des citoyens pour leur demander leurs avis, leurs aspirations, et tout cela de maniĂšre virtuelleâŻ! Rencontre avec ces trois acteurs de changement.
Vous avez donc lancĂ© un questionnaire qui a touchĂ© plus de 500 participants pendant le confinement, comment avez-vous mis en place ce processus de rĂ©colte dâinformationsâŻ?
Xavier : Cela faisait un petit moment quâon voulait partir Ă la rencontre de la classe moyenne, quâon a aussi appelĂ© « les citrons pressĂ©s ». Ces gens qui Ă la fin du mois ont du mal Ă nouer les deux bouts et qui ne se retrouvent pas nĂ©cessairement dans tel ou tel parti. On a donc dĂ©cidĂ© de rentrer en contact avec ces gens-lĂ .
MĂ©lanie : Câest surtout la crise du Covid qui a provoquĂ© cette maniĂšre de travailler. On avait prĂ©vu des soirĂ©es, des rencontres mais il a fallu changer notre fusil dâĂ©paule. On a donc envoyĂ© notre questionnaire individuellement, sans savoir si ça allait marcher ou pas. Mais je pense que le fait dâaller chercher les gens, avec un petit mot personnalisĂ©, ça a bien fonctionnĂ©.
Gianni : Les gens Ă©taient contents quâon vienne vers eux. On a eu un sentiment trĂšs positif par rapport Ă la dĂ©marche. Avec le contact individuel, on prenait la peine de les interpeller et dâexpliquer le processus. Mais aussi de prendre de leur nouvelle pendant cette pĂ©riode Ă©trange.
Retrouvez vos idées et émettez de nouvelles idées https://www.ilferabeaudemain.team/